ReviewRéalisée pour le service des émissions dramatiques du réseau anglais de Radio-Canada, la fresque historique sur Riel sera diffusée simultanément dans les deux langues demain et mardi soir prochains en deux épisodes de 90 minutes. Annoncée à grand renfort de tambours et trompettes, cette super-production maison s’accompagne d’un livre, d’un disque et même de matériel didactique pour les enseignants. (Jacques Marchand - Le Devoir, samedi 14 avril 1979, page 29)
Produced for the drama service of the English network of Radio-Canada, the historical fresco on Riel will be broadcast simultaneously in both languages tomorrow and next Tuesday evening in two 90-minute episodes. Heralded with much fanfare, this in-house super-production is accompanied by a book, a record and even teaching materials for teachers. (Jacques Marchand - Le Devoir, Saturday April 14, 1979, page 29)
Le Pax Quartet et l'Ensemble vocal Terre Entière viennent d'enregistrer un long jeu intitulé CHANTEZ UN CHANT NOUVEAU (étiquette Select) qui permet d'écouter chez soi de très belles pièces qui deviennent en plus populaires dans nos temples. Par exemple, “Gloire à toi Seigneur”. “O Seigneur qu’il est grand ton nom”, “Seigneur, réponds moi”, “Par lui”. “Eternel est son amour”... Un très bel enregistrement sous la direction de Christian Chevallier. (La Patrie, dimanche 4 mai 1969, page 52)
CORDES : Jean Préfontaine (violoncelle), Richer Robitaille (violoncelle), Pierre Dagostino (contrebasse) et Roland R. Desjardins (contrebasse).
BOIS : Bernard Jean (chef de section, hautbois, cor angle), René Bernard (basson), Gail Grimstead (piccolo), Jean-Paul Major (flûte, flûte alto) et Gilles Moisan (clarinette, clarinette basse).
MUSICIENS SOLISTES : François Dompierre (piano, clavecin, grandes orgues), Gilles Hainault (piano), Ron Dann (steel guitare), Claude Garden (harmonica), Dorothy Masella (harpe), Jean Laurendeau (ondes martenot), Rahul Mahadeo (cithare et tablas), Paul Baillargeon (synthesizer) et Anne Little (flûte à bec).
CHOEURS : Marie Bernard (chef de section), Denis Chartrand, Serge Benoit, Guy Robitaille, Thomas Naymond, Jean-Pierre Brunet, Gilles Hainault, Florient Grégoire, Pierre Legault, Guy Gingras, Marcel Lachambre, Carol Benoît, Jean-Clément Bergeron, Luc Larocque, Daniel Gareau, Chantal Rémillard, Mireille Robitaille, Jacinthe Roberge, Alice Poulin Parizeau, Diane Crépeau, Renée Bergeron, Danielle Parent, Céline Prévost, Linda Mailhot, Odette Chiasson, Odette Olivier, Micheline Dinel, Yolande Parent et Micheline Parent.
SOLISTES : Céline Dissault, Yolande Parent, Micheline Dinel et François Dompierre.
La plupart des gens (et nous en sommes) connaissent surtout Robert Toupin comme un personnage de “Quelle famille » comme animateur de l’ex-émission de variétés "Moitié, moitié" et comme homme de théâtre.
Ce que l’on sait moins cependant. c'est que Robert Toupin est pianiste, qu’il gratte de la guitare et qu’il s'amuse à la chanson depuis fort longtemps
Toupin n’a pas brûlé les étapes et c’est à 30 ans qu’il enregistre son premier microsillon solo. Et cela donne un beau disque où la maturité est évidente.
Et il n’y a pas que la maturité, Robert Toupin sait écrire et ne tombe pas dans le travers de l’écriture populaire, forme d’écriture trop souvent gratuite.
Robert Toupin a l’inspiration vaste, par ailleurs. Il n’y a pas de redite. Et tout cela est sain et beau. Je pense en particulier à « La terre est un village », « Chante donc » ou à ce très beau « Gazoum » « …les yeux des hommes bleus, et la prière des Berbères ont lavé nos cœurs, ont nettoyé nos têtes. Le soleil du désert brûle dans nos âmes. Mohammed El Gazoum, mon ami, viendras-tu nous voir dans notre pays. »
Joyeux touche-à-tout, Toupin aborde la chanson avec bonheur. (André Gaudreault - Le Nouvelliste, samedi 7 mai 1977, page 12)
La chanson "Maurice Richard" a d'abord été interprétée au Forum de Montréal par Mme Charlebois le jeudi 19 avril 1951 lors de la 4e partie des finales de la Coupe Stanley entre les Maple Leafs de Toronto et le Canadien de Montréal (Toronto a gagné 3 à 2 en prolongation).
Chants folkloriques, qui évoquent toute l’histoire du Canada : (Introduction ; Reel du Peddleur), Les Indiens de la plaine, L’Ouest, L’Acadie, La côte du Pacifique, La Nouvelle-Écosse, le Grand-Nord, Les Laurentides, Kébec. Comme il s’agit surtout d’un ensemble qui a été acclamé partout comme corps de danse folklorique, j’ai été surpris de la qualité de la partie musicale; son authenticité, sa variété, et la beauté sonore qui orne le tout; même les gigues et reels, joués par un orchestre de qualité symphonique prennent des reflets intéressants. Le choix des œuvres aussi est fort intéressant. Quelques danses sauvages, quelques belles cantilènes (anglaises et françaises), et j’ai bien aimé la chanson intitulée « Histoire du Canada », qui ouvre l’ensemble, qui s’appelle la « Ritournelle du Peddleur ». L’orchestration est pleine d’imagination, fait appel à côté des instruments de l’orchestre classique, à l’accordéon et à d’autres instruments populaires. Les solistes sont moyens, mais le chœur, assez peu nombreux, est très souple et d’une grande vitalité, en particulier dans la « Chasse esquimaude ». Recommandé. (L’action, vendredi 11 février 1966, page 20)
Review"On sait que la gamine a déjà, dans les comptoirs à musique, un disque “ Pathé ” , sorti des presses il y a quinze jours, et qui porte notamment “ Ma p’tite polka". Cette chanson, enregistrée avec environ 10 musiciens, est fort plaisante à écouter, très “ dansante ” aussi, et elle a séduit le public américain aussi bien que celui du Québec." (André Rufiange - Radiomonde et Télémonde, samedi 29 juin 1957, page 3)
ReviewLa compagnie Alouette vient de lancer deux nouveaux disques du PERE BERNARD. Les chansons qu’ils portent sont “ Coeur de mie ”, “Souriez bonnes gens”, “Manteau de joie" et “Frère feu”. (Jac Duval - Radiomonde et Télémonde, samedi 5 juillet 1958, page 20)
ReviewLa compagnie Alouette vient de lancer deux nouveaux disques du PERE BERNARD. Les chansons qu’ils portent sont “ Coeur de mie ”, “Souriez bonnes gens”, “Manteau de joie" et “Frère feu”. (Jac Duval - Radiomonde et Télémonde, samedi 5 juillet 1958, page 20)
Review"LES COMPAGNONS DE LA CHANSON A BOBINO" (Columbia Fl 349) — Sur les coupures de journaux à l'endos de la pochette, on ne tarit pas d'éloges à l'endroit du spectacle des Compagnons. Et les critiques ne trompent vraiment pas. Les Compagnons demeurent ceux qui représentent le mieux la belle chanson. Une fois de plus, ils nous le prouvent, que ce soit dans "le Sous-marin vert" ou dans "les Trois Cloches" ... Un seul regret : "les Perruques", qui est probablement un excellent numéro à la scène mais qui devient long et ennuyeux sur disque. (Pierre Vincent - Photo-Journal, mercredi 1er mars 1967, page 78)
Le jeune soprano, Gérard Barbeau, vient d'enregistrer deux nouveaux disques aux studios de RCA Victor. Pour répondre à la demande générale, il chante "Ave Maria" de Gounod, "O vos omnes", extrait des sept paroles du Christ, de T. Dubois ainsi que "Écho Suisse" de Eckert et "Maman" de Yvain. Ces disques, de même que les précédents, distribués par Ed. Archambault, Inc., sont en vente chez tous les marchands de disques de la province. (Le Devoir, jeudi 11 janvier 1951, page 6)
ReviewLancement collectif par le CELAT de l'u. Laval
Pour la première fois en quelques mois, le Centre d’études sur la langue, les arts et les traditions populaires des francophones en Amérique du Nord (CELA 13 de l’Université Laval vient de lancer un travail collectif comprenant plusieurs ouvrages, touchant différents domaines.
(...)
La musique est le thème de deux autres récentes publications du CELAT "Symphonie de chants paysans" pour choeur, soli et orchestre de Marc Gagné Ouvrage commandé par l'Alliance canadienne. Et 'Musique traditionnelle pour la danse. Région de Québec" Il s'agit d'un disque préparé par Normand Legault et quelques collaborateurs, disque conçu spécialement pour la danse dans sa forme traditionnelle. Québec, Laridaine. (Monique Duval - Le Soleil, mardi 15 mai 1979, page B 8)
ReviewLa maison Columbia a pensé souligner les 10 ans de Claude Léveillée dans la chanson d'une façon assez spéciale. 3 microsillons contenant de ses toutes premières à ses plus récentes chansons, dans un emballage spécial et d'une qualité exceptionnelle. Très bonne idée. (DISCO-CHOIX par Monique Ruhlmann, Télé-Radiomonde, samedi 4 mai 1968, page 32)
EXCELLENTE IDÉE que cette “ anthologie Claude Léveillée", réunie à l'occasion des dix ans de carrière de cet important auteur-compositeur-interprète de chez nous, et groupant 36 de ses chansons interprétées par lui. Il s'agit, bien sûr, de la réédition d'enregistrements faits par Léveillée au cours des années passées ("Frédéric", "Les vieux pianos", "Le chemin du Roy", L'hiver", etc.), mais il est dommage que cet album ne soit que cela; une réédition, un nouveau jumelage. La Columbia a complètement négligé de donner à cette réalisation la présentation qui s'imposait; il n'y a pas un mot de biographie, pas un mot sur l'évolution du style de Léveillée, rien : même pas l'année de composition des chansons. Décidément, on ne sait pas ce que c'est qu'une anthologie chez Columbia ! J'ajoute que la dernière comédie musicale de Léveillée "Elle tournera la terre", brille par son absence. (Claude Gingras, La Presse, samedi 15 juin 1968, page 29)
Sur un article de l'Échos-Vedettes, on indique que les titres sont interprétées par Pierre Nolès à l'orgue.
Selon l'encyclopédie canadienne (https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/hetu-lucien), c'est interprété par Lucien Hétu.
Review« Un p’tit peu de musique cheap » pourrait très bien être le titre du dernier microsillon que vient de lancer la compagnie Jupiter. Yvan Dufresne pousse vraiment un peu loin quand il se permet de mettre sur le marché, un 33-tours comprenant les grands succès de Marc Gélinas joués à l’orgue par Pierre Nolès. Une telle initiative serait très louable si c’était fait honnêtement. Dans le cas présent, on peut entendre les pistes sonores qui ont servi aux disques de Gélinas et à la place de la voix du chanteur, on a substitué de la musique d’orgue. De plus, il faut bien regarder la pochette avant de se rendre compte qu’il s’agit de chansons de Marc Gélinas interprétées à l’orgue, car le nom de ce dernier est très en évidence et on peut même voir quatre de ses photos. Bref, il s’agit de tactiques que nous n’approuvons pas et qui n’ont d’autre but que de faire de l’argent en exploitant la « kétennerie » d’un certain public. Venant d’une compagnie comme Jupiter, cela nous surprend beaucoup et on peut se demander ce qu’en pense Gélinas. (Échos-Vedettes, dimanche 28 avril 1968)
ReviewMARC GÉLINAS : ses chansons interprétées à l’orgue
Si mon nom était Marc Gélinas, je n’aimerais pas du tout qu’on utilise les pistes d’orchestre de mes plus grands succès, qu’on y ajoute une petite musique d’orgue assez bébête et qu’on lance ensuite le tout sur le marché sous forme de microsillon. L’acheteur averti, je parle de celui qui connaît bien Marc Gélinas, ne sera certes pas content. (Télé-radiomonde, samedi 27 avril 1968, page 32)
ReviewUn disque essentiel pour les admirateurs et admiratrices de cet artiste de chez nous qui a effectué un brillant retour dans le monde de la chanson. On écoutera avec plaisir : « Rendez-vous à Montréal »; « La Ronde »; (…). (La Patrie, Dimanche 23 juin 1968, page 54)
Review La chance lui sourit de plus en plus ces mois-ci. Son disque « Maria Elena » se vend très bien de même que « Ce sacré vieux soleil ». Le premier microsillon de Bob Robie sera lancé le 27 avril dans la métropole où le nom de Bob Robie est étroitement associé au canal 10. (Edgard Demers – Le Droit, Mardi 14 avril 1964, page 8)
ReviewPour satisfaire sa clientèle de langue française, COLUMBIA publie une série de microsillons sous le titre général « Les plus grands succès français ». Signalons la belle présentation du « Carnaval des Animaux » de Saint-Saens et de « Pierre et le Loup » de Prokofiev (1-12 » COLUMBIA FL-201). « Le Carnaval des Animaux » est enrichi d’un texte de liaison de Francis Blanche dit par Claude Dauphin. Le texte rivalise de finesse et d’humour avec la musique. Dans « Pierre et le Loup », c’est Jean-Pierre Aumont qui fait la présentation des instruments et le récit. La musique est exécutée dans les deux cas par André Kostelanetz et son orchestre. Ce disque fournit une excellente initiation musicale aux enfants et aux… adultes. (Le Devoir, samedi 11 mai 1957, page 2)
ReviewUn autre premier microsillon, celui d’Anne Anderssen (Gamma GS 174) offre une audition agréable. La voix de cette québécoise au nom danois d'origine française est belle, forte et un peu fumée. Il est surtout question d'amour dans ces chansons dont elle a fait les paroles. De refrains comme “ La Balançoire ” et “ La Dernière danse ” sont assez jolis. C’est gentil, frais et un peu banal. (Yves Taschereau, Le Devoir, Samedi 20 avril 1974, page 19)
Ce disque a été enregistré au printemps 1965, comme fait foi un article de journal : "Paolo Noël enregistrera dans quelques jours, pour RCA-Victor, deux long-jeux. Le premier a pour titre: "Noël en mer'* et sera lancé à la saison des Fêtes 1965. Le deuxième sera dans le même style que son plus récent, "Et le bateau s’en và ” qui, nous dit-il, se vend très bien." (Télé-radiomonde, samedi 6 mars 1965, page 28)